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A l’heure du premier salon du livre des lanceurs d’alertes le 14 et 15 novembre à Montreuil, on peut s’étonner que celui-ci n’ait pas, dans un premier temps(*), pensé à ceux qui alertent sur l’Art officiel et financier avec son cortège de délits d’initiés, de conflits d’intérêts et d’opacité des comptes publics. L’Art contemporain, version AC, est un vrai tabou de notre société. Pourtant rien que le bréviaire de la corruption au ministère de la Culture mis en ligne par l’avocat Roland Lienhardt a de quoi intéresser les « anti-corruption »