Même les joyeuses et progressistes années 1950 et 1960 sont diabolisées. Ce ne sont pas seulement les années trente qui incarnent « les heures les plus sombres de notre histoire, et blablabla… » c’est tout notre passé qu’il faut brûler comme une obscure et honteuse préhistoire moyenâgeuse.
Ainsi même après la traque de Tintin au Congo, le Club des cinq est dénaturé car jugé dangereux et son langage… trop soutenu ! Censurer et vulgariser en pensant vendre au plus grand nombre vont d’ailleurs de pair, la moraline du politiquement correct et la vénalité faisant bon ménage.
Un article de Marianne dénonce le caviardage et le blog de Celeborn en fait l’analyse subtile (cliquer sur l’image pour la lire)










































