FABRICE EULRY A ROME POUR RESONNANCE

Grazie a Gianluca Colantoni per la fotografia !


  Imaginez à Rome, un orphelinat de garçons victimes de la guerre, ouvert à l’époque de la première guerre mondiale, où les jeunes hommes sont associés à l’autogestion et toutes les tâches de la maison. Des garçons nés en Irak en Ethiopie en Somalie, en Lybie, en Syrie etc etc etc etc etc…  Cet orphelinat autogéré, qui donne le sens des responsabilités à ses pensionnaires, a été crée en 1912. Il y a partout d’énormes photos de ses anciens  occupants, des garçons européens privés de leur famille par les deux guerres mondiales. Et malgré cet arrachement, et les mutilations physiques parfois, toujours cette énergie vitale décuplée par l’épreuve, et ce même sourire sans concession que je retrouve chez ceux d’aujourd’hui.

  En lisant leur article ci-dessous je m’aperçois qu’ils exagèrent un tout petit peu, car avec le nez je n’ai joué qu’une seule note ! (le do final de C jam blues). En tout cas je n’ai jamais vu un public aussi rieur et énergique en 33 ans de scène !

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