ULTRASUEDE STUDIO CINCINNATI

C’est ici que Fabrice Eulry a enregistré en octobre 2014 le moment le volume 2 de Twistin’ at Ray’s avec les Rolling twisters.

Jusqu’en 1972 les :

 records, utilisaient ce studio pour leur enregistrements magiques (James Brown) avant que le fameux label ne soit racheté. L’usine de pressage de disques était adjacente au bâtiment. La bande faisait donc quelques mètres et dans les 48 heures le disque était entendu à la radio.

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ET SI LES PORTABLES CESSAIENT DE POLLUER NOS CONCERTS ?

    Qui ne s’est pas plaint des portables qui pullulent à chaque concert et forment une sorte de mur virtuel ?

 

    Qui ne s’est jamais dit que la réalité en prenait un coup, le public préférant stocker des souvenirs de mauvaise qualité plutôt que de faire du moment quelque chose de mémorable ? Les artistes en tout cas commencent à en avoir assez* : leurs fans se transforment en robot aux bras tendus et naturellement prolongés par des téléphones. Où est passée l’authenticité, la capacité à s’ancrer dans le réel et à savourer l’instant qui rendait heureux le public autant que les artistes ? 

*Plus qu’assez ! Cela fait un moment que c’est devenu le fléau numéro 1 du métier de la scène. (NDLR)

Lire la suite dans :

http://www.novaplanet.com/novamag/36378/et-si-les-portables-cessaient-de-polluer-nos-concerts

   Article intéressant dont la conclusion laisse à désirer par sa ligne consensuelle qui n’arrive pas à se débarrasser de l’absurde IL EST INTERDIT D’INTERDIRE et trouve la solution proposée « un peu totalitaire » (bel oxymore et grosse confusion entre totalitarisme et autorité). Il faut savoir ce qu’on veut !!! 

 

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ELIZABETH SOMBART JOUAIT SALLE CORTOT LE 12 OCTOBRE 2014

La claveciniste Sonia Donabédian

Sonia bleue (cliquez sur son image pour accéder au blog clavecin féminin)

était là pour le Canard du pianiste : 

   « Je suis allée aussi écouter Elisabeth à la salle Cortot avec Ariane, Mireille, mon élève du Panthéon et son amie. 

     C’était super, nous étions assises au dernier rang en haut de face et on entendait vraiment tout très bien, je pense même mieux que d’en bas.

    Elle a joué un Chopin toute seule, puis le premier concerto pour piano pour le larghetto du second, dans la version avec quatuor, écrite par Chopin lui-même, presque mieux que la version avec orchestre, plus intime et correspondait mieux selon moi à cette musique sublime et si sensible. En tous cas, Jamais la masse sonore de l’orchestre ne nous a manqué. Le quatuor à cordes était de qualité, toujours très juste et très en place, et les 3 filles étaient belles.

    J’ai ensuite discuté avec le professeur d’histoire de la musique qui avait présenté les oeuvres qu’elle avait joué l’an dernier. Il m’a dit que cette version, représentée pour la première fois à Paris en 1832, était la préférée de Chopin.

    Nous avons aussi discuté avec une des 2 violonistes qui nous a expliqué la difficulté de jouer cette partition qui comporte à la fois la partie des cordes et celles des vents. La mise en place avec le piano n’était pas facile car il fallait laisser de la liberté d’interprétation à Elizabeth et seul le violoncelliste la voyait. Ils avaient déjà joué cette oeuvre ensemble tous les 5. Ils ont également du alléger au maximum leur jeu au début du premier mouvement afin d’avoir un bon équilibre avec le piano, ce qui était très réussi et donnait un côté Schubertien très intéressant.

 

    Elizabeth Sombart était toujours aussi belle, dans une tenue blanche avec des strass argentés et ses ballerines dorées scintillantes. Toujours aussi émouvante dans son jeu. Nous avons toutes passé un moment de grâce.

   Je l’ai félicitée au cocktail, elle se souvenait très bien de moi, ce qui m’a touchée, elle voit tellement de monde… « 

(cliquez sur l’image pour accéder au site de la fondation d’Elizabeth Sombart)


 (Cliquez sur la photo pour écouter l’émission)

(Emission : « Elizabeth Sombart. La musique au coeur de l’émerveillement » (Radio Notre Dame, 7 mai 2013)

Concerto en DO# mineur – Fabrice Eulry

Concerto en DO dièse mineur cliquez sur l’image pour le commander

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« ELOGE DU VIDE » PAR CHRISTINE SOURGINS

   « En cette rentrée 2014,  l’artiste américaine Lana Newstrom pense, du haut de ses 27 ans,  avoir l’idée de génie du siècle en vendant… de l’invisible ?

   Pour voir l’invisible cliquez ici. Ses premières expositions ayant eu peu de succès, elle s’avise de ne rien faire mais de le faire savoir. Son expo  cartonne, avec le soutien de son galiériste : 4 oeuvres vendues pour plus de 35000 $ chacune. De l’art interactif qui obtient du spectateur ce que voulait Duchamp qui disait « ce sont les regardeurs  qui font les tableaux » ? Et qui réalise le rêve de l’hyper finance : vendre le néant à prix d’or ? Un observateur en conclut qu’il est plus facile de critiquer quand on peut voir l’oeuvre… autrement dit, le vide, lui, prête peu le flanc à la critique : quel serait un « mauvais vide » ? Un néant défectueux ? Un rien erroné ?    Contrairement aux apparences, il est possible que Paris ait eu la primeur d’un néant  monumentalement  raté…. « 

Lire la suite en cliquant sur la couverture du livre

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IL Y A CENT ANS : LE PREMIER COMBAT AERIEN DE L’HISTOIRE

Une guerre féroce entre France et Allemagne… dans les airs.

(cliquez sur l’image pour accéder au récit détaillé de ce célèbre affrontement)

Enseignez l’histoire de France avec des chansons, de l’humour et l’esprit léger et positif :

 

Le livre-disque de Fabrice Eulry  : 1h.20 de récit et de chansons originales 50 pages illustrées sera l’année prochaine également disponible en application numérique !

 On le trouve également à la librairie Notre-dame de France, sur le site www.hérodote.net, ou à la librairie d’art.

Ragtime

Voici un poème pianistique contant un siècle d’Entente franco-britannique sous la forme d’une composition originale déclinée en seize variations illustrant chacune autant d’événements vécus en commun avec nos cousins d’outre-manche depuis 1904. Un livret est joint dans les deux langues.

Cette composition commandée par l’ambassade de France à Londres a été donnée en première mondiale le 9 décembre 2004 par Fabrice Eulry dont on découvre ici une nouvelle facette.

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COMMUNION AUTOUR DE GUILLAUME PERROT

  

« Le concert hommage donné le dimanche 5 octobre 2014 est donné pour la recherche contre l’ostéosarcome (précision en dessous de la photo de Guillaume ci-dessous). Le théâtre de Roanne était complet plein à craquer pour honorer la mémoire de ce jeune artiste que nous n’oublierons jamais.

A cette occasion j’ai enregistré un dvd du concert avec les Starting blocks en première partie, son sympathique groupe de Rock avec qui nous avons terminé par un What’d I say pour le rappel » F.E.

« Je vous ai déjà parlé maintes fois de ce talentueux pianiste.

Egalement un élève des plus prometteurs et des plus généreux, sa courte carrière était déjà riches d’expériences.

  

  C’est Béatrice Bonnamour, journaliste dans le Roannais, qui m’a contacté pour donner le concert que Guillaume avait souhaité réaliser en duo avec moi, pour la recherche contre  l’ostéosarkome. Je sais que vous serez tous là pour soutenir ce projet, et je suis émerveillé de découvrir chaque jour  tant de nouveaux mélomanes qui ont gardé Guillaume dans leur coeur et dans leurs oreilles !

  Mais ce n’est pas tout : la maladie qui a emporté Guillaume en pleine ascension artistique va grâce à lui, et grâce à vous recevoir la monnaie de sa pièce.

   En effet il nous malicieusement laissé quelques enregistrements de qualité que j’ai eu la lourde responsabilité de sélectionner en vue d’un disque dont le fruit de la vente est consacré lui aussi à la recherche contre l’ostéosarcome.

   « Ne pas avoir eu le temps malgré ses voeux, de se consacrer à des enregistrements… Mais laisser le plus poignant témoignage musical, à ceux qui l’ont aimé, et à ceux qui le découvriront, à travers ce disque d’archives prises à la volée, fugaces et superbes, à l’instar de sa carrière… Tels sont la grâce et le talent de Guillaume Perrot. » Est un extrait du texte qui accompagne le disque de Guillaume.

 

Sur l’histoire de ce disque, lire l’article suivant :

http://www.fabriceeulry-laboutique.com/blog/?p=5138

Le disque est sorti officiellement le 5 octobre pour le concert hommage à Roanne et vous pouvez le commander auprès de l’association Boogiewooguillaume en écrivant à :

https://www.facebook.com/boogiewooguillaume?fref=ts

  Mais ce n’est toujours pas tout ! Nous avons joué pour Guillaume le 5 octobre mais nous avons aussi créé un dvd de cette soirée dans le même but que le sus-dit disque ! J’écris nous car de surprise en surprise j’ai appris que Guillaume jouait aussi dans un groupe de rock les starting blocks, qui ont participé à la soirée avec moi !

 Guillaume Perrot a quitté cette terre mardi 28 août 2013 au matin, voici un espace où nous consoler de son absence, et nous recueillir en communiant autour d’une flamme que j’entretiendrai régulièrement en pensant à lui et à vous tous.

 Et voici une vidéo amateur de l’artiste jouant avec Loys Brossy. Nous remercions Loys Brossy de nous avoir sollicité pour nous parler de Guillaume, voici son message :

Bonjour,

« Je me présente, je suis le frère d’un ami à Guillaume Perrot, je l’ai remplacé dans le groupe dans lequel il jouait suite à sa maladie. Je sais que Guillaume jouait le vol du bourdon version boogie, j’aimerai bien le jouer aussi mais je ne trouve la partition nul part. Je me demandais s’il était possible de vous acheter la partition puisqu’il me semble que c’est avec vous qu’il l’a appris. Je crois qu’on à tous comme souvenir de lui quelqu’un de très joyeux et positif. »

 Et voici le lien de la vidéo ;

https://www.facebook.com/photo.php?v=1257553799650

 A partir du printemps 2011, et pendant 27 mois il a souffert physiquement. Après un espoir de guérison à la fin 2012, la réapparition du mal a entraîné des traitements qui l’ont épuisé depuis le printemps suivant, mais Guillaume était un sage. Heureux de chaque instant, et toujours positif et plein d’humour, il me proposait encore des projets fin juin 2013. 

  Lors d’un stage musical en 2008, dont nous voyons ici quelques photos, j’ai découvert tant de maturité chez Guillaume que je lui ai même parfois délégué des tâches auprès des autres stagiaires, alors qu’il en était un lui-même  !

 Il était alors ravi de transmettre à son tour, trouvant qu’il était aussi enrichissant de partager dans ce sens.

 Pour ceux qui partagent ce sentiment d’injustice devant cette disparition, n’oubliez pas que c’était un ange du piano, et apaisez-vous en n’oubliant pas que, si ce sont parfois les anges qui s’envolent trop tôt, c’est précisément parce que ce sont des anges.  

 N’oubliez pas de prévenir tous les proches qui ont eu la chance de l’apprécier. 

Bien chaleureusement à chacun. » Fabrice Eulry.

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De gauche à droite : Guillaume dans les aigües, puis Frédéric, Pierrick, Côme, Fabrice.

Un dix mains sur 88 touches soit 8,8 note pour chaque main !

Ici un des rares moment en piano solo lors de ce stage de 2009.

 Et une détente en duo juste avant le dîner

  » Ci-dessous, le travail de la main gauche seule, dont il avait saisi très tôt l’importance. Au printemps 2010, la stabilité de sa main gauche était telle, qu’il maîtrisait un répertoire de ragtimes suffisamment important pour enregistrer un album complet rien qu’avec cette musique.

  Ceci est rare, parce que le ragtime demande des qualités demeurant contradictoires tant qu’une maturité bien tassée ne nous a pas structurés ! Qualités pianistiques (déplacement, équilibre, force, indépendance des mains) et musicales (son, tempo, poésie) que j’entendais toutes rassemblées lors de sa venue chez moi en ce printemps 2010. Il vint alors passer quelques jours à la maison avec Côme Girshing (que nous remercions encore pour les photos).

  Venant de passer un col réputé infranchissable, exténué par plusieurs mois d’un projet pharaonique, soit la création de mon concerto pour piano n° 1 à la salle Cortot à mes seuls frais et risques contre vents et marées, me retrouver loin de tout avec mes deux jeunes collègues et un piano, était une cure de jouvence. Nous nous mîmes en tête de décorer un mur de la cuisine avec des céramiques cassées.    Pendant que deux d’entre nous oeuvraient, le troisième jouait du piano, et avec Côme, nous interrompîmes maintes conversations, cueillis par la précision et parfois même, la poésie du jeu de Guillaume. Il nous jouait un répertoire de ragtime, conquêtes sans doute récentes, mais qui paraissaient anciennes tant le jeu était mature.

  Pour certains pianistes il y a même une désespérance à la maîtriser tant la poésie qui se dégage d’un morceau de Scott Joplin

 est aussi vite oubliée qu’elle semblait accessible pour l’auditeur se voyant déjà la restituer une fois devant le piano.

  En résumé, une musique aussi simple à écouter que dure à jouer. Et qui pourtant ne semblait pas arrêter Guillaume Perrot au point qu’il me semblait entendre le fameux album de Claude Bolling en piano solo qui a déjà initié trois générations de pianistes français au ragtime.

  Devant cette évidence, nous discutâmes tous les trois du premier futur disque de Guillaume qui faute d’être remis indéfiniment pour les raisons que nous savons, eut été certainement parfait. Il avait été question jusqu’ici d’un projet commun avec d’autres jeunes pianistes pour sortir un premier disque à trois quatre ou cinq. j’avais déjà organisé ce genre de rencontres et les projets avaient vu le jour :

  « Piano solos » un disque de 1997 avait ainsi mis le pied à l »étrier à Bertrand Garde, Rémi Toulon, Pierre-Yves Plat et Simon Vidmar.

  Pianistes 5 en 2006, avait réuni Rémi Delahais, Boris Mlatac, Adrien Fauvel, Frédéric Gotjikian, et Jean-Sebastien Remise.

 La plupart d’entre eux devinrent musiciens professionnels et ces expériences collectives leur avaient permit d’aborder leur première expérience discographique en partageant le risque qu »elle présente, la complicité des pianistes, l’humour et la camaraderie de la jeunesse éternelle. Un projet similaire s’était donc dprélablement dessiné dont Guillaume était supposé faire partie, avec Côme éventuellement. Mais il se dégagea de cette discussion que Guillaume Perrot pouvait et devait même brûler l’étape en passant directement à la case premier disque en piano solo… A suivre. »F.E.

  Revenons aux stages : les fauteuils sont encore vides, mais nous commençons à les installer pour la représentation finale publique de clôture, pour laquelle chacun accumule son trac. La répétition géénérale inclut plusieurs numéros de pianistes (le tiers des stagiaires le sont. Voici donc un « quatre mains à rotation » ou « tournante de pianistes » : de gauche à droite : Côme, votre serviteur dans les basses, caché par Côme, Dominique et Guillaume.

 

 Un chaleureux commentaire de Christine Amade, musicienne et mélomane de l’Aveyron qu’elle a envoyé sur la boîte directement et que nous publions donc ici. 

    Très émouvant ton hommage à ce jeune garçon il ressemble beaucoup à Bruce Lee.  Le piano à 8 mains, pétard, ça devait être impressionnant.

  Hé oui les anges s’en vont trop tôt et les démons restent trop tard.      

  Amicalement et sincères condoléances à sa famille.

  L’avantage de la musique c’est que la personne ne part pas définitivement les notes résonnerons toujours.

Un autre témoignage sur son disque :

 Je ne l’avais pas encore écouté comme il faut mais très rapidement en faisant autre-chose. J’ai les larmes aux yeux. Quel gâchis cette vie partie trop vite mais quel talent quelle tenacité, quelle joie il nous laisse. A écouter avec les mouchoirs à côté. Il frappe sur ce piano et puis, Parlez-moi d’amour, bon bref je pleure. Merci pour ce cadeau de la vie.

Amitié et courage pour ses parents et sa famille.

Tous vos commentaires sont les bienvenus.

 Un témoignage de Guillaume :

      Trouvé sur Info Sarcome voici un message si positif du regretté jeune pianiste, mon ami, élève et collègue.

F.E.

     

  « Guillaume est un jeune pianiste professionnel de 25 ans. Atteint d’un ostéosarcome depuis 2011, c’est en janvier dernier, alors qu’il est en pleine cure de chimiothérapie au Centre Léon Bérard (Lyon), qu’il contacte notre association afin d’organiser un concert au profit de la recherche sur les sarcomes dès qu’il serait de nouveau sur pied. Portant un regard à la fois posé et lucide sur sa maladie, Guillaume garde également des projets plein la tête pour continuer d’aller de l’avant et nous livre aujourd’hui le portrait d’un artiste combatif… »

La suite sur info Sarcome

 

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FABRICE EULRY A L’OLYMPIA LE 10 SEPTEMBRE 2015

 

FABRICE EULRY

 à

 LE 10 SEPTEMBRE 2015

Déconcerto pour un seul homme

  Merci pour votre exceptionnelle mobilisation à J-331 !

 Vous pouvez bénéficier de la réduction jusqu’au 9 novembre

 Envoyez le chèque correspondant au nombre de places à 30 € que vous voulez réserver, à l’ordre de Karavane productions à : 

Karavane productions 

9 rue Ambroise Paré

75 010 Paris

 

Photo ©Tiki Tim (Cincinatti Ohio Etats-unis)

https://www.facebook.com/tikitim1?fref=ts

  En attendant l’OLYMPIA, patientez avec le dvd de Fabrice Eulry à BOBINO qui vient d’être réédité (cliquez sur l’image pour accéder à la boutique)

  En voici d’ailleurs un extrait : le final du Vol du bourdon de Rimsky-Korsakov : outre sa touche personnelle, Fabrice Eulry l’a adapté pour piano en amalgamant les versions de Vladimir Horowitz, Jack Fina et Winifred Atwell (versions boogie-woogie).

SOYEZ LA 11 000 ème PERSONNE A LE VISIONNER !

Cliquez sur l’image

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POUR NOS AMIS BELGES

Prochains évènements de Résonnance Belgique

 

 

 

 

 

 





ELIZABETH SOMBART & FABRICE EULRY

N’attendez pas la dernière minute pour réserver vos places car il n’y en a que 100.

ENCORE 20 PLACES

J’espère que vous pourrez nous y rejoindre !
A bientôt,

LE VENDREDI 31 OCTOBRE 2014 – 19 H.

au CHATEAU CLEYDAEL

CLEYDAELLAAN 36 à 2630 AARTSELAAR

80 € pp + option parking surveillé dans la cour du château 5 €

Tous nos remerciements vont à

M.et Mme Coosemans Robert pour l’accueil

au magnifique château

Places UNIQUEMENT prévente jusqu’au 20 OCTOBRE -mais si les places sont prises-impossible d’encore réserver 

Veuillez réservez par email: resonance.belgie@gmail.com

Contact: Sonia Hinninck – 0487 493 447

En mentionnant vos noms et adresses complètes, le nombre d’entrées pour le dîner ainsi que le nombre de places désirées au Parking. Une lettre de confirmation vous donnant accès au château vous sera envoyée par courrier postal.   

REKENINGNUMMER/N° DE COMPTE

IBAN: BE 65 3631 3785 2396

A.Deckers– S.Hinninck (Resonnance)

www.fabriceeulry.com

www.resonnance.org

http://resonnance-belgie.jouwweb.be

Quelques photos des concerts gracieux donnés dans les maisons de retraites en Flandre au printemps dernier

… Où les jeunes côtoient les vieux, avec le 6 juin un répertoire connoté « débarquement » !

Fabrice Eulry brengt op woensdag 7 mei 2014 een uniek pianoconcert voor de bewoners en bezoekers van het woonzorgcentrum De Lisdodde van het OCMW-Sociaal Huis Mechelen. Het gratis concert wordt aangeboden door De Stichting Résonnance, die in diverse landen in Europa goede doelen ondersteunt door hun optredens.

LIRE LA SUITE EN FLAMAND SUR :

http://www.koenanciaux.be/?q=node/262

VOICI LA TRADUCTION DE L’ARTICLE EN FRANCAIS

Fabrice Eulry a donné  mercredi 7 mai 2014 un concert de piano unique pour les résidents et les visiteurs et pensionnaires de la maison de retraite du CPAS Chambre sociale Malines. Le concert gratuit est présenté par La Fondation Résonnance, qui dans plusieurs pays de l’Europe soutient les organismes de bienfaisance par des performances musicales gratuites.

L’agréable restaurant woonzorgcentrum La quenouille est le 7 mai 2014 , transformé en une salle confortable de musique intime. Tous les résidents et leurs visiteurs sont invités à profiter du récital de piano unique, de Fabrice Eulry.

Fabrice Eulry est un professeur et pianiste associé à la Fondation Résonnance. La Fondation, créée à Morges (Suisse) en 1998 par Elizabeth Sombart, vise à éduquer et développer une pédagogie. Cette pédagogie est basée sur la connaissance de la phénoménologie musicale combinée à la maîtrise du corps et de la respiration.
Et ce, indépendamment de l’âge, en mettant l’accent sur l’éducation gratuite, sans examens ni pression concurrentielle. et traduit concrètement dans la création d’écoles de piano pour tout le monde.

Ils organisent de nombreux concerts de charité par les élèves du maître. Les enseignants et les élèves prennent volontiers part à ces concerts dans le cadre de leur formation, parce que toute la théorie peut y être convertie en expérience.

Il y a aussi des concerts gratuits et des mastères classes prévues dans les prisons, les établissements pour mineurs, les centres de soins résidentiels, les centres pour les personnes handicapées, etc… Afin de soutenir ces projets Résonnance  organise aussi dans divers pays d’Europe des concerts payants.

« Il n’est pas possible de faire de la musique en étant plus proche des gens», explique Koen Anciaux, président du CPAS Chambre sociale Malines. Il soutient également la Fondation et ses performances, « Je ne peux que saluer, » poursuit-il encore.

Plus d’informations sur la Fondation peuvent être trouvées à résonnance www.resonnance.org ou vous pouvez contacter Sonia Hinninck 0487 493 447 ou 0478 475 623 Agnès Deckers.

Concerto en DO# mineur – Fabrice Eulry

Concerto en DO dièse mineur cliquez sur l’image pour le commander

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L’AFFAIRE DE L’HOPITAL DE GARCHES

Une communication de Santé nature innovation :

Très important avant de franchir les portes d’un hôpital

Chère lectrice, cher lecteur,

Si vous suivez l’actualité médicale, vous êtes au courant de l’affaire du Dr Nicole Delépine, de l’hôpital de Garches.

Il s’agit d’une femme qui a soigné toute sa vie des enfants atteints de cancer, et qui prend aujourd’hui sa retraite.

Les autorités de santé en profitent pour fermer son service. Les parents des enfants malades s’y opposent énergiquement.

Derrière, il y a des enjeux qui concernent tous les lecteurs de Santé Nature Innovation. Des choses très importantes qu’il faut absolument que vous sachiez avant de franchir la porte d’un hôpital, et même la porte du cabinet d’un médecin.

« Nos enfants ne sont pas des cobayes »

Les parents ont lancé plaintes, pétitions, grève de la faim, communiqués de presse pour s’opposer à la fermeture, en vain.

Ils estiment que leurs enfants sont mieux soignés dans ce service parce que le Dr Delépine utilise des traitements personnalisés et qu’elle ne teste pas sur eux les nouvelles molécules produites par les laboratoires pharmaceutiques. « Nos enfants ne sont pas des cobayes », disent-ils.

En face, de nombreux cancérologues des autres hôpitaux estiment qu’il est choquant qu’un médecin employé dans un hôpital public :

  1. refuse les protocoles officiels ;

  2. refuse de faire participer ses patients à des études qui pourraient faire avancer la médecine et sauver des patients à l’avenir.

Le Dr Nicole Delépine affirme sauver 90 % de ses patients, soit bien plus que les autres hôpitaux [1].

Mais elle a aussi refusé que soient menées les études pour confirmer ses propos. Ses succès prodigieux sont donc fortement mis en doute par ses collègues, les autorités, la presse, etc.

Alors, qui croire ?

Un énorme malentendu

Commençons par dissiper un énorme malentendu. Contrairement aux préjugés qui circulent, les méthodes du Dr Nicole Delépine n’ont strictement rien de naturelles.

D’une part, elle utilise un produit de chimiothérapie datant de la Guerre froide, particulièrement corrosif, le méthotrexate. Il s’agit d’un agent hautement toxique qui détruit le système immunitaire du malade. Vous pouvez lire les détails de ses effets indésirables sur sa fiche Wikipédia, c’est édifiant [2].

D’autre part, lorsque le Dr Nicole Delépine parle de traitements « personnalisés », cela veut dire qu’elle peut injecter à ses patients des produits de chimiothérapie à des doses très supérieures à ce que recommandent les protocoles officiels.

Elle l’explique elle-même dans un récent article du magazine Le Point :

« Cette thérapie s’appuie essentiellement sur une molécule, le méthotrexate, injectée à des doses plus importantes qu’ailleurs. Nous dispensons des quantités de plus en plus fortes tant que la tumeur n’a pas diminué de façon significative et que la tolérance du patient est satisfaisante. Mes confrères utilisent une dose fixe et des protocoles standardisés. » [3]

Nous ne sommes donc pas du tout dans le cadre de traitements « alternatifs » du cancer, en médecine douce. Au contraire, nous sommes dans une version décomplexée de la bonne vieille médecine chimique par l’anéantissement total de l’ennemi, peu importe la puissance des moyens mis en œuvre.

Les médecins qui critiquent le Dr Nicole Delépine ne sont donc pas des partisans des méthodes brutales, comme trop de médias le laissent entendre. C’est plutôt le contraire !

Mais alors, me direz-vous, pourquoi tant de parents se précipitent-ils dans son service ?

Hé bien, pour une raison… excellente.

Un vrai docteur d’autrefois

Tous les témoignages concordent : la présence, l’énergie, le dévouement du Dr Delépine pour chacun de ses petits malades, sont exceptionnels [4] :

« Tous les parents ayant rencontré Nicole Delépine racontent sa formidable chaleur, son énergie, son inépuisable dévouement. Auprès d’elle, ils entendent parler de bataille totale, de suivi individuel, de protocole singulier, d’alternative thérapeutique, de refus de traitement standard. Ils comprennent, alors que la mort rôde, qu’une femme, un médecin, fera tout pour guérir leur enfant, adapter heure par heure son traitement, inlassablement guerroyer contre le cancer. Alors, ils y croient, et se battent. » explique le magazine Le Point. [5]

Or, précisément, de bonnes relations avec le médecin et ses collaborateurs contribuent considérablement à la guérison, selon une étude menée pendant deux ans par le WIAD, l’Institut scientifique des médecins allemands, et dont les conclusions ont été présentées début 2011.

Selon Jana Jünger, médecin chef de la Clinique universitaire de Heidelberg, il est capital d’enseigner aux futurs médecins comment parler aux malades. « À nos yeux, celui qui ne sait pas communiquer ne peut pas devenir médecin.»

Selon Fabrizio Benedetti, l’un des principaux chercheurs sur le sujet : « Les stimuli sociaux tels que les mots, et les rituels des processus thérapeutiques peuvent modifier la chimie et les connexions cérébrales du patient ». Des forces d’autoguérison sont enclenchées dans le cerveau via les neurotransmetteurs et les messagers du système immunitaire.

Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir

Le Docteur Delépine ne considère jamais que son patient est « foutu ». « Elle se bat jusqu’au bout » pour ses patients, témoigne Sophie Masset, dont le fils est atteint d’une tumeur au péroné [6].

Elle a même été accusée par un petit ponte de la cancérologie de donner « trop d’espoir » aux parents et aux enfants malades [7] !

Et pourtant, on sait que si le médecin promet au patient une évolution positive, les améliorations ne tardent pas à poindre. Les médecins peuvent même renforcer l’effet placebo par leur comportement, en se montrant chaleureux et amicaux ou encore décidés et apaisants, comme l’a constaté l’équipe de Jos Kleijnen, un chercheur britannique en épidémiologie de York qui, en 2001, a passé au crible 25 études sur la relation médecin-patient.

Il se pourrait donc que le Dr Delépine ait des résultats bien supérieurs à la moyenne, ainsi qu’elle l’affirme et que le rapportent ses patients. Parce qu’elle a su continuer à pratiquer une médecine humaine, faisant même régner dans les couloirs de son hôpital une atmosphère familiale, très éloignée des « couloirs de la mort » de beaucoup de nos hôpitaux modernes :

« J’ai tout de suite été frappée par l’ambiance familiale qui régnait dans ce service, raconte encore la mère d’Anaïs, atteinte d’un cancer de l’os ; tout était fait pour que l’enfant se sente bien, cette femme médecin passait constamment dans sa chambre, s’occupait d’elle, était à l’écoute. Si ma fille devait partir pour rejoindre les anges, je garderais en moi ces images de dévouement. » [8]

Avantages et inconvénients des « grands pontes »

Les experts ministériels ont beau jeu d’accuser le Dr Delépine de ne pas donner assez de gages de la rigueur scientifique de son approche du traitement du cancer.

La réalité, c’est qu’à partir d’un certain degré de gravité (et le cancer de l’enfant en fait partie), la médecine est largement démunie et il n’est pas du tout évident que tel ou tel protocole soit meilleur qu’un autre (sinon, il n’y aurait pas de débat).

En revanche, l’attitude du patient face à la maladie, la présence de l’entourage, l’implication du médecin, jouent un rôle décisif, non seulement dans les chances de guérison comme nous l’avons déjà dit plus haut, mais aussi dans les moments exceptionnellement intenses qui précèdent et qui suivent la mort, et qui peuvent être de beaux moments, osons le dire parce que ce fait est systématiquement occulté.

Je peux témoigner, pour avoir moi-même perdu mon enfant suivi par de « grands spécialistes » qui n’avaient rien vu venir, que leurs titres et leurs diplômes ne garantissent pas leur capacité d’agir avec humanité face à la tragédie.

Quand vous êtes face à la mort de votre enfant, cela vous fait une belle jambe qu’il soit suivi par un « grand ponte » ultracompétent sur le plan médical, mais qui vous prend de haut et n’hésite pas à laisser en plan ses malades pour partir en congrès à l’autre bout du monde ou en RTT.

Aussi, nous ne pouvons nous empêcher de penser avec la plus forte émotion à tous les parents qui aujourd’hui, craignent pour la vie de leur enfant, et qui sont coincés dans des services où on les traite comme des numéros, où il n’y a pas, où il n’y a plus de Dr Delépine.

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LE VOL DU BOURDON

… En Boogie-woogie.

Soyez la 12 000 ème personne à le visionner :

 

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